La femme dans toutes les sociétés, a toujours été considérée comme un être fragile, faible, … des qualités qui lui ont parfois coûté de se faire abuser. Plutôt que de continuer à subir, les femmes ont décidé de se battre par la dénonciation et de combattre par des techniques de self défense.
Pourquoi faut-il savoir se battre ?
Violences conjugales, viols, agression de rue… le chapelet des souffrances féminines est long à égrainer dans un monde où de plus en plus la violence dicte sa loi. Apprendre à se défendre soi-même est devenu un moyen plus sûr de survivre. En plus, un autre avantage avec certaines techniques de self-défense c’est qu’elles permettent d’avoir des bras plus fermes.
Quelles sont les disciplines d’auto-défense ?
L’armée israélienne et aussi l’armée indonésienne offrent les meilleures techniques d’auto-défense. Le Krav Maga et le Penchak Silat sont deux disciplines d’autodéfenses issues de ces armées.
D’autres techniques de self défense viennent cependant des arts martiaux comme le karaté, le kung-fu, le Jiujitsu… ou alors des sports de combats tels que la boxe thaï ou même la boxe française. La boxe thaï notamment mise sur le corps à corps, les prises au sol, les projections tandis que la boxe française offre comme méthode d’autodéfense, la savate défense.
Quelle technique choisir ?
Comme il a été dit que le Krav Maga était une technique issue de l’armée, beaucoup de femmes estimeront ne pas être à la hauteur.
Et pourtant, cette discipline de self défense est réservée idéalement à la femme qui pratique peu le sport, et qui veut retrouver confiance en elle, sortir de sa sédentarité. Dans cette discipline, on apprend à évaluer la menace, à l’anticiper, la gérer, à s’enfuir ou bien à se défendre.
Il est donc important pour les femmes de se mettre même à la boxe, dont l’essentiel n’est pas de leur apprendre à participer à des compétitions internationales, mais de se défendre de d’agressions, de vol et de viols.
Les chiffres du viol dans le monde
Le nombre de viols dans le monde va croissant tous les jours. Quotidiennement on dénombre près de 685 cas de viols, donc annuellement 250 000 viols par an. Les États-unienne sont en tête de ce classement avec 84 767 viols et au bas du tableau la Thaïlande avec 4633 cas.
Il s’agit là des cas déclarés, sans compter qu’il est difficile dans ces sociétés où sournoisement règne parfois le diktat de l’homme, de dénoncer ces abus sans se faire juger.
